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Souvenirs en vrac.... Supplément socialiste au livre de la jungle.

30 Avril 2010 , Rédigé par daniel Publié dans #Souvenirs en vrac

Certes le titre du billet est un peu provocateur mais c’est le titre d’un  livre d’Aurélie Marcireau paru en septembre 2008, juste avant le congrès de Reims. Un essai sur la vie chaotique du parti que je soutiens depuis près de 40 ans et auquel je suis attaché-encarté depuis 1985.

Je n’ai pas référencé ce billet dans la rubrique « à livre ouvert » car non seulement il ne s’agit pas d’un chef d’œuvre ni d’un essai indispensable… je l’ai même trouvé un tantinet confus, brouillon, sans véritable fil conducteur…. mais aussi parce que l'auteur tablait manifestement sur une victoire de la motion  Royal-Peillon à Reims et  qu'aujourd'hui la donne a quelque peu changé….. Toutefois les informations qui sont fournies sont intéressantes, les personnages y sont, dans l’ensemble, bien  traités et comme je les ai, presque tous, plus ou moins côtoyés, certains chapitres m’ont rappelé quelques « souvenirs en vrac ».  

Aurélie Marcireau est une journaliste de la chaîne parlementaire et elle a pris en chasse ces drôles de gibiers que sont les quadras du Parti Socialiste. … prendre en chasse étant d’ailleurs un terme excessif quand on sait que c’est avec délectation qu'ils aiment qu’on les mette en joue avec une caméra et un micro. Aurélie Marcireau a donc suivi les pistes de Manuel Valls, Pierre Moscovici, Vincent Peillon, Arnaud Montebourg, Benoit Hamon, et quelques autres comme Gaétan Gorce (dont je ne parlerai pas dans ce billet car c’est le seul que je n’ai jamais rencontré ) …. L’éditeur, au dos du livre, nous invite à « cette excursion au pays de la relève : dans moins de dix ans, ils vous gouverneront ».Je souhaite ardemment  qu’il ait raison, car je sais qu’ils ont tous beaucoup de  talent… mais…  mais il y a des mais…. Et en plus ça dépend quand même un peu des électeurs…  

 « Le temps des éléphants est fini. La page se tourne définitivement. Voilà le temps des jeunes lions » (p.30) s’exclamait Arnaud Montebourg après sa victoire à l’arraché aux législatives de 2007. Voilà une phrase choc qui est probablement à l’origine du choix du titre du livre…..  On comprendra aussi que c’était pour moi le bon moment pour travailler à ce billet, que j’ai en tête depuis quelque temps, en le plaçant  juste après cinq billets consacrés aux safaris kenyans.

 « La génération Jospin s’en va, la génération Mitterrand est partie, la seule qui peut fonctionner, c’est que la nouvelle génération s’allie. Soyons responsables, c’est notre tour, soyons acharnés mais soyons tranquilles, personne ne nous prendra la place » (p.226)  renchérissait Pierre Moscovici.

Est-ce si évident ? En sont-ils capables ? J’ai eu la chance et le plaisir de militer avec certains d’entre eux notamment entre 1994 et 1999 d’abord dans le sillage de Vincent Peillon,  puis à partir de 1997 en soutien logistique à Geneviève qui était devenue députée. Je me suis remotivé après la défaite de Jospin en 2002 en participant avec enthousiasme à l’aventure NPS.

 J’ai aimé tous ces personnages différents mais si proches et a priori  complémentaires …. Grâce à eux le PS retrouvait une jeunesse, des idées, des projets associant rénovation, audace et pragmatisme…. Mais à chaque fois qu’un rassemblement de rénovateurs se constituait, j’étais, aussi hélas, bien obligé de constater d’irrémédiables problèmes d’égo… voilà au moins un point qu’ils ont en commun avec la génération précédente, celle des éléphants  …… Le pire, l’incompréhensible,  c’est qu’il y avait vraiment et, je crois, par quelques échos qui me parviennent, qu’il y a toujours de  l’amitié entre eux :  Amitié méfiante, amitié à géométrie variable, amitié au-delà des chamailleries de famille à qui serait le meilleur, le plus beau, le plus-plus,  ….

 Tout au long du livre j’ai trouvé des anecdotes, des confidences que je connaissais ou qui ressemblent à de situations que j’ai vécues et que je pourrais dater avec précision en ressortant mes agendas ou carnets de notes.

Alors voici quelques morceaux choisis du livre assez révélateurs, complétés de quelques souvenirs  :

« …Après 1995, avec Lionel Jospin, une nouvelle génération de cadre dynamise le parti. Ces cadres se nomment Pierre Moscovici, Vincent Peillon, Manuel Valls et d’autres. L’un est en charge de l’organisation des forums de réflexion, l’autre est secrétaire national aux études, le troisième est missionné pour réfléchir aux problèmes contemporains….. Ils préparent le parti pour l’alternance…. »  (p. 46). Ce fut une période passionnante ;  j’avais intégré les instances nationales fin 1994 et je participais à toutes les conventions thématiques lancées entre 1995 et 1997…

… et puis en 1997, les élections qui suivirent la dissolution-surprise de l’Assemblée Nationale amenèrent Jospin à la tête du gouvernement…..et Hollande à la tête du PS…. Les militants n’avaient plus qu’une mission : faire la promotion du travail du  gouvernement… La nouvelle génération était certes très bien représentée dans la nouvelle Assemblée,  mais  aucun des jeunes « lions », à l’exception de Moscovici et un temps de Christian Paul, ne fut ministre.

Pierre Moscovici (p. 47)  estime «  que la face du PS aurait été changée si ces personnalités-là, Arnaud, Vincent en particulier, avaient eu une expérience gouvernementale entre 1997 et 2002 ». Leur propre parcours d’ailleurs, la manière dont ils ont fait le NPS n’aurait pas été identique. « Jospin, finalement, n’a pas vu grandir cette génération-là. Après moi, il a fermé le ban. Moi j’étais son enfant, après moi, ils étaient trop jeunes… »

Déceptions pour ces nouveaux députés d’être restés à l’écart….. Mais le travail ne manquait pas pour ceux qui voulaient donner une nouvelle image de la politique. Peillon et Montebourg se découvraient et une amitié sincère les a réunis. Qu’il était sympa ce duo lorsque, « jeunes députés, fringants », ils avaient enquêté « sur le blanchiment des capitaux en Europe ». (p.28).

Dans un article d’août 2000, Libération faisait un porrtait croisé du duo en opposant la flamboyance d’Arnaud à la discrétion de Vincent, le « culot des vrais Narcisse » de Montebourg, à la « pudeur des faux modestes » de Peillon (p. 145. )

 On ne peut pas dire que toutes les initiatives eurent l’assentiment du premier ministre et il est clair que Montebourg en particulier avait un problème avec Jospin et n’eut pas son appui quand il essaya de traîner Chirac devant la Haute Cour (p.102). Il fut même désavoué  publiquement quant il s’avéra être sur le point de trouver les 58 parlementaires nécessaires pour obtenir cette comparution. Le très jospinien Peillon  se retira de la manœuvre (tout en invitant des amis, comme Geneviève, à soutenir Arnaud). Montebourg ne trouva que 30 signataires. Quelque chose était cassé avec Jospin y compris par la suite  pour Vincent : («  Lionel Jospin je l’idolâtrais ! ….. L’image que j’avais de lui était fausse. Mon admiration tenait beaucoup à ça : le protestantisme intellectuel, l’honnêteté, la rationalité protestante…p. 210 et 221 ».

Schéma identique pour Manuel Valls mais lui vis-à-vis de Rocard qu’il avait  longtemps admiré « Il y avait dans le rocardisme une forme d’inefficacité politique à conquérir le pouvoir …. Rocard est très lunatique et ne porte intérêt pour les gens qui ont travaillé pour lui…» (p 136), mais lui est moins critique envers Jospin dont il fut l’un des principaux collaborateurs à Matignon « Jospin est beaucoup plus attentionné » (p. 137)».

Je ne cite que rapidement Benoit Hamon et  sa troupe d’ex-jeunes rocardiens qui ont pris un virage à 180 degrés pour occuper maintenant auprès d’Emmanuelli l’aile gauche du parti…..

Des points communs, quand même, entre eux : la rupture avec le mitterrandisme. Montebourg dans son remarquable essai « La machine à trahir » n’est pas tendre avec l’ancien président « qui entendait faire respecter son domaine réservé » 25 ans après l’avoir dénoncé dans « Le coup d’éclat permanent ».  Peillon était en 1995 le « nègre » de Jospin et c’est lui qui a proposé la formule du droit d’inventaire. Cette formule fut rejetée plusieurs fois par le candidat avant d’être enfin prononcée au meeting des floralies à Vincennes. C’était le 9 avril 1995 et  j’étais à côté de Vincent  quand la phrase décisive fut prononcée et, euphorique, mon ami me dit : « Vises un peu  la tronche des éléphants. »

  Peillon s’agace parfois quand on l’assimile totalement à la jeune génération… il estime que la rénovation il la porte déjà depuis bien longtemps « Je suis rentré au Bureau national en même temps que Hollande, en 1994. » Cette année-là au congrès de Liévin, il présentait avec quelques copains  (j’en étais) une motion…. d’opposition qui obtint 8% (p 56)… ce qui a permis à cette équipe d’accéder aux instances nationales et à Vincent mais aussi à Clergeau d’entrer au Bureau national.  Je mentionne Christophe qui n’est pas cité dans le livre de Marcireau et que j’ai perdu de vue depuis (il est 1er vice président de la région Pays de Loire). Il était à l’époque à la tête d’une petite troupe de jeunes militants, d’une vingtaine d’années de moyenne d’âge, très engagée en faveur d’une évolution fédéraliste de l’Europe. Ils avaient accompagné  Peillon jusqu’à ce que des divergences sur le soutien à Jospin en 1995/96, n’apparaissent… Différences d’âge et d’orientations au sein de cette motion 2…  la rénovation ne s’avérait donc pas être un long fleuve tranquille…

« Peillon est, comme son ami Moscovici, ami de quinze ans et témoin de mariage, dans l’entre deux, entre deux générations, entre deux cultures… (p 97) » Des propos qui me rappellent une discussion fort intéressante avec Mosco quand il était venu, à Niort,  animer en février 1995 une réunion débat.

 En 2002, le coup de massue, Jospin était devancé par Le Pen au premier tour de la présidentielle : Peillon, Montebourg, Dray et Hamon créèrent le NPS…  que Dray quitta rapidement pour rejoindre Hollande et empêcher sa défaite au congrès de Dijon.

Cette équipe NPS a fait un travail fabuleux : il suffit de relire « Au cœur de la gauche » pour s’en convaincre.  Il fallait reconquérir les couches populaires qui n’avaient voté qu’à 12% pour Jospin.

 Montebourg a un jugement catégorique sur le sujet : «  Le PS ne pense plus la société, on lui a débranché le cerveau depuis Jospin. Il nous a empêché de penser la défaite, donc de réfléchir à la reconstruction. (p103) » 

  Manuel Valls est resté à l’écart du NPS tout en l’accompagnant de temps en temps et en participant même à des universités d’été à Fouras. Il désigne d’autres coupables : c’est tout le monde ! Certes d’abord  Hollande mais aussi tous ceux qui ont cautionné le système : « Nous avons tous été secrétaires nationaux qui avons travaillé avec lui, nous avons été d’une certaine manière victimes consentantes du système Hollande. Un système qui ne prend pas les gens au sérieux, ne les fait pas travailler, n’exploite pas leur talent quel qu’il soit…( p. 108) »

Manuel a toujours tenu une ligne originale dans le parti. La première fois que je l’ai rencontré c’était en mars 1994, il était venu a Niort remplacer, au pied levé Cambadélis, pour une réunion… je ne me souviens plus du thème de ce débat mais je me rappelle qu’il avait été éblouissant de facilité… c’est le premier à m’avoir impressionné avant Peillon, Moscovici, et Montebourg. « Non,  individualisation ne signifie pas droitisation. Oui l’émancipation par le travail et le mérite demeurent des valeurs de gauche.( p 90 )» ou encore « Mais pour être crédible, bon sang, sur la question des retraites il faut commencer par dire la vérité. (p.92 )»  C’est un parler vrai qui raisonne bien à mes oreilles de cadre du secteur privé engagé à gauche…. Même si parfois il est quelque peu surprenant ; notamment avec son volte-face lors du référendum interne du PS…. (p.120) : il militait ardemment pour le NON et c’est surtout lui, par ses arguments, qui m’avait convaincu de suivre cette ligne…. je lui ai donc demandé de venir dans les Deux Sèvres pour un débat organisé où il eut en face de lui pour défendre le OUI, Julien Dray….  Rien à dire, a priori, car Il a tenu parfaitement son rôle… sauf que quelques jours plus tard il changeait de position pour se conformer au choix de la majorité du PS…. Il aurait simplement suffi, par respect pour le parti et comme  l’ont fait les militants NPS, qu’il ne fasse plus ouvertement campagne pour le NON… mais ce changement de ligne à la dernière minute pour soutenir le OUI, m’a profondément déçu et gêné…. Ça ne faisait vraiment pas sérieux.

 Quelle espérance cette création de NPS en 2002 ! Que de monde à la Sorbonne le samedi 26 octobre 2002,  et puis Benoit Hamon et Christian Paul qui sont venus à Niort le 14 janvier 2003, et puis le rassemblement national à la Mutualité, à Paris sous la neige le 1er février 2003 ; la salle était archipleine  alors que près de la moitié des départements était bloquée par la neige et les militants n’avaient pu faire le déplacement… une inquiétude quand même : Dray était absent et des rumeurs commençaient à circuler sur son probable ralliement à Hollande….

 Le samedi suivant, Vincent et Arnaud étaient à Bordeaux… moi aussi et là, la rumeur concernant Dray était confirmée.

Le week-end du 17 mai 2003 se tenait le congrès de Dijon et Hollande sauvait son poste….

C’est après que les turbulences ont commencé… d’abord des bisbilles entre Arnaud et Vincent et puis les proches ont soufflé sur les braises… Je ne voulais pas y croire…. Ce ticket était une telle chance pour nous… « L’intellect de Peillon et l’art oratoire de Montebourg réunis….(p.145) »  Mais même pour moi, qui refusais cette perspective d'échec,  il était clair au printemps 2005 qu’ils n’arrivaient plus à vivre ensemble cette aventure. «  …Quand  Montebourg se voit déjà candidat à la Présidentielle…. Peillon calcule les forces au sein du parti… » Christian Paul, proche de Montebourg décrit Peillon ainsi :« Un téléphone pour les patrons de fédés, un autre pour les journalistes. (p. 145) ». Et c’est vrai que Vincent est un habile manœuvrier dans l’appareil… mais des gens comme Assouline, devenu sénateur, ou Hamon, devenu député européen, devraient lui en être reconnaissants…

Le point de tension culminant me parait avoir été une réunion des mandataires fédéraux à l’Assemblée le 8 juillet 2005…. ptn que ce fut tendu !

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Et le plus aberrant dans cette histoire c'est  que c’est Montebourg qui a ouvert les portes du NPS à Emmanuelli. Erreur fatale dans la perspective du congrès du Mans car il était évident qu’Emmanuelli, qui était alors en rupture avec son ex-allié Mélanchon, pousserait le NPS vers une synthèse avec Hollande. Moi je ne comprenais plus rien car la rénovation avait commencé en 1994 contre Emmanuelli et on essayait de rebondir en 2005 en intégrant Emmanuelli. Cherchez l’erreur !

Lors des travaux de l’université d’été NPS  à Fouras, fin août, tout semblait être redevenu normal mais je sentais bien que chacun comptait ses divisions. Je ne comprenais plus trop où on allait.

Le 5 novembre 2005 s’est tenu le congrès fédéral et Montebourg est venu dans les Deux Sèvres, pour présenter notre motion. Le midi il a déjeuné avec les sympathisants et, à brule- pourpoint, il me demanda si j’étais favorable à une synthèse avec Hollande. J’ai du faire une réponse prudente, mi-figue mi-raisin,  qui ne lui a pas plu car il ne m’a pas adressé la parole pendant le  week-end du 18 novembre au Mans… je n’étais pas de son camp… et il est vrai que  je suis resté derrière Vincent. … même si je sais maintenant que c’était Arnaud qui avait raison…. Du moins pour ce qui concerne cette synthèse voulue par Hollande et qui fut acceptée par Emmanuelli, Hamon et Peillon.

 Arnaud et ses amis l’ont refusée « la nuit de congrès du Mans fut un moment terrible de ma vie » déclara Montebourg….

 Après cela  tout est parti à vau l’eau. NPS a continué à se fissurer…. Hollande a remarquablement récupéré la jeune génération, celle qui suit les quadras, personnalisée par Benoit Hamon … ce n’était pas trop difficile en exploitant leur rejet total de Ségolène Royal…. Martine Aubry qui avait Hamon à son cabinet ministériel entre 1997 et 2002 a fait de même  après Reims… il est aujourd’hui porte-parole du PS reprenant le poste qu’avait Peillon pendant la période Hollande-Jospin.

 Vincent analysant l'expérience NPS déclara à Aurélie Marcireau : « Je n’aurais, peut-être pas du rester, et j’aurai dû comprendre quelle était l’ambition et même la ligne politique d’Arnaud et que tout cela allait donner des conflits en permanence…" 

Je crois qu’aujourd’hui encore ils sont dans un remake du «  je t’aime moi non plus »…

 Pratiquement tous les quadras  Peillon, Montebourg, Valls ont, par la force des choses, joué la carte Royal…. Alors que les plus jeunes, Hamon et ses troupes ont été ceux qui ont continué à critiquer la candidate le plus longtemps après sa désignation  (J’ai entendu Benoit Hamon déclarer qu’elle était la plus à droite du PS ).

Et puis après l’échec de la candidate… les quadras se sont à nouveau dispersés…. Qui les rapprochera pour que le pronostic de Moscovici se réalise…. Strauss-Kahn, Aubry ?... Il est peu probable, aujourd’hui, que ce soit Royal et encore moins que ce soit Hollande…

 Moi, maintenant,  je ne suis plus dans le coup ; je suis ailleurs comme un Mowgli qui aurait  pris un sacré coup de vieux ....

....Je reste fidèle à mes amis  mais je ne veux plus avoir à choisir entre les uns et les autres et puis …. même si je sais que l’avenir dure longtemps, je ne veux pas perdre mon temps à miser sur un gagnant potentiel …  Je leur conserve à tous ma confiance, ma sympathie et même mon amitié… notamment pour Vincent, celui que je connais le mieux,… en espérant que dans l’avenir ils soient enfin capables de jouer collectif pour que l’un d’eux  ….. etc ….etc… etc…

 

(… et…. à suivre…)

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D
<br /> A Colette : mission accomplie vous n'êtes plus abonnée à la newsletter.<br /> <br /> <br />
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D
<br /> Désolé Colette mais je ne sais pas.... Je ne savais même pas que ce modeste blog référencé "divers" avait une newletter et au moins "une abonnée"....(je n'ai em moyenne qu'une dizaine de lecteurs<br /> direct, hors google, par jour.<br /> J'essaye d'approfondir le sujet demain et voir si je peux faire quelque chose pour vous..... soulager de cette réception.<br /> Est-ce l'aspect politique de ce billet ou la provocation du titre qui vous incite à partir ?<br /> <br /> <br />
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C
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